Daniel Chenot - Nicole Cibois - Laurent Mallet
Exposition du 7 octobre au 14 novembre 2015
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| Nicole Cibois |
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| Laurent Mallet |
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| Daniel Chenot |
Galerie Atelier des Marches et Galerie Malebranche
4 et 11 rue Malebranche, 75005 PARIS
Daniel Chenot
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Nicole Cibois
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| Nicole Cibois |
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| Nicole Cibois |
Nicole Cibois est photographe.
Formée à l’École supérieure
des Arts appliqués Duperré, elle a proposé dans ses dernières expositions un
regard personnel sur les traces laissées par les démolitions de constructions
anciennes :
-
2013 : Galerie L. Mauguin (Paris) « Vestiges ordinaires »
- 2011 : Médiathèque Alfortville « Architectures
de banlieue »
Elle anime un atelier d’arts
appliqués où elle forme ses élèves au collage : exposition à la médiathèque
d’Alfortville « Lettes imaginaires » en 2014.
Depuis 2007, elle participe régulièrement aux
expositions des 111 des Arts de Paris.
Laurent Mallet
"Je suis médecin, gastro-entérologue, passionné de
photo depuis une vingtaine d'années. J'ai appris seul la photographie et j'ai
longtemps travaillé en noir et blanc argentique. Je ne me suis "mis" à
la couleur que récemment avec l'avènement du numérique.
Ma démarche se voudrait esthétique : montrer ce qui
est beau en photographiant ce qui ne l'est pas à l'évidence ou en
photographiant à ma manière ce qui a déjà été photographié. " L’art
devrait toujours nous apprendre que nous n’avions pas vu ce que nous avons vu ". Paul Valéry. C'est bien le sens de ma démarche
photographique. Je veux aussi faire rêver et pour cela le noir et blanc est idéal
car il est déjà une abstraction. Chacun peut donc rêver sa propre histoire
devant une photo en noir et blanc. " Ce que l’on voit n’est pas fait de
ce que l’on voit mais de ce que l’on est ", cette pensée de Fernando
Pessoa s'applique aussi très bien à la photographie.
Cette démarche "intellectuelle" doit impérativement
reposer sur des règles de technique photographique : la composition, la lumière,
l'équilibre des formes et des contrastes qui sont indispensables pour qu'une
photographie puisse espérer être "une bonne photo". Mais cela ne
suffit pas : il faut en plus que vienne s'inscrire dans ces règles de mise en
page, un "événement" fugace non reproductible qui en fasse une photo
unique, une œuvre unique. Cela pourrait être résumé ainsi : la photo que j'aime
(faire) est la rencontre improbable entre la rigueur technique et le hasard (de
l'événement) qui crée la beauté, la poésie et l'humour (exemple absolu : le
train de péniches de Willy Ronis). C'est cette rencontre qui me semble la spécificité
de l'art photographique. Les grands photographes sont pour moi à la fois les
peintres et les poètes de la vie.
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| Laurent Mallet |
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| Laurent Mallet |
